MARS
2023
|
ENTRETIEN-INTERVIEW
|
HERVE JOLIVET
|
"Ne crois rien que tu n'aies pu vérifier ou expérimenter toi-même!" Cet adage attribué à Bouddha, résume très bien la personne,
passionnée et passionnante, de Hervé Jolivet, que nous avons la joie
d’accueillir ce mois-ci dans les Regards du Pilat. Cela fait plus de trente ans qu’il s’intéresse aux énergies
qui nous entourent et il a eu le grand privilège de rencontrer des spécialistes
qui l’ont initié dans ce domaine de l’invisible, qui depuis est devenu une
véritable passion. Mais Hervé Jolivet reste toujours très prudent face à ce
qu’il entend, à ce qu’il lit, à ceux qu’il rencontre … Il a cette capacité à ne
se fier qu’à son intuition et à son ressenti, même si cela doit aller à
l’encontre de ce qui est écrit ou ce qui est d’usage … Il a su aujourd’hui, organiser sa vie autour de cette
passion qu’il aborde sous différentes voies professionnelles que nous vous
proposons de découvrir ci-dessous.
|
|
1/ Les Regards du Pilat : Vous cumulez beaucoup de passions à
votre actif. Pour commencer, peut-on dire de vous que vous êtes un grand
voyageur, tout du moins que vous avez une âme portée sur les voyages ?
Hervé Jolivet : Je me considère plus nomade que voyageur.
J’aime l’idée d’aller dans un
endroit, un pays, d’apprendre la culture locale, les rapports avec la religion,
comment les gens du coin ont développé leurs façons de faire et leurs
connaissances en rapport à ce qui se passait autour d’eux.
En voyageant j’ai toujours rêvé d’un
lieu idyllique où j’allais arriver et me dire c’est là !
Il faut que je reste, mais, en
fait il n’y en a pas, ou plutôt c’est partout.
Parfois le lieu est très beau,
parfois les gens sont intéressants, etc.
Et je me suis construit de tout ce
que j’ai vu et rencontré.
En même temps, j’ai beaucoup de
respect pour ceux qui ont des racines et s’y accrochent.
Mais, nous ne sommes pas tous
pareils et c’est tant mieux.
Les voyages m’ont fait comprendre
que l’on faisait partie d’un grand tout
Tous différents et tous pareils.
Aujourd’hui je voyage beaucoup
moins, j’en ressens moins le besoin,
mais parfois j’aime bien partir sans rien préparer « on verra bien ce que la vie nous réserve ».
2/ Les Regards du Pilat : Votre relation avec l’eau s’avére
importante et ce, de longue date. Qu’en est-il exactement ?
Hervé Jolivet : L’eau : un des plus
grands mystères de l’univers, elle est la vie (enfin telle que nous la percevons)
en même temps, on ne sait pas vraiment d’où elle vient, il y a plusieurs
théories, sur le sujet.
En tout cas c’est vrai qu’elle a été souvent présente pour
moi.
Je suis né verseau ascendant verseau.
À l’école comme je n’étais pas un modèle d’obéissance et que
j’avais un petit problème avec l’autorité, on m’a orienté vers un métier du
bâtiment. Quand j’ai vu que je n’avais pas le choix, j’ai demandé à faire
menuisier parce que j’aimais le bois et bien sûr, on m’a mis plombier.
Du coup, j’ai travaillé dans tous les
domaines de l’eau,
industrie, bâtiment, puis j’ai vu une annonce une société qui se
vantait d’être la société de l’eau et de l’environnement. Alors j’ai
postulé, je suis resté 15 ans avec un retour à l’école entre pour avoir
un meilleur
poste. J’ai fait du traitement de l’eau, de la distribution, de
l’assainissement puis lassé de travailler pour des actionnaires et non
pas pour
l’environnement.
J’ai lâché le confort de cette vie pour partir vivre dans
les îles, toujours dans l’eau.
Quelques années plus tard de retour en France, Je me suis mis à mon compte comme plombier comme c’était mon premier métier.
En même temps je me formais au magnétisme à la géobiologie
et je m’intéresse depuis toujours à
l’ésotérie.
Je me suis intéressé à des travaux sur l’eau comme ceux de
Masaru Emoto et incorporé des pratiques de re-programmations des molécules
d’eau du corps dans mes soins.
Et parfois on me demande de faire des petites conférences
sur l’eau.
3/ Les Regards du Pilat : Par le passé vous avez effectué dans
sa globalité le pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle.
Aviez-vous besoin de vous recentrer
sur vous-même ? et qu’avez vous retiré de cette expérience humaine
significative ?
Hervé Jolivet : Cela faisait bien longtemps que j'avais lu sur le sujet
et envie de partir mais je n’avais pas
pris l’occasion de le faire.
Un événement tragique fin 2007, l’assassinat de plusieurs personnes proches
m'a fait prendre la route du Puy-en-Velay à Finis Terrae.
Une de mes croyances était que les gens morts de mort violente
ne pouvaient pas s’élever et restaient coincés entre deux mondes, mais que l’on
pouvait les libérer par quelques pratiques.
Et aussi que cet
événement marquant m’a fait prendre conscience qu’il fallait faire les choses
quand on avait envie et ne pas mourir en se disant j’aurai dû faire ceci ou
cela, je ferais plus tard.
Avant de partir, j’ai fait une formation sur la géobiologie,
j’avais lu qu’il y avait de nombreux sites avec des énergies fortes sur le
chemin.
J’avoue que ce chemin était un très beau moment de ma vie,
moi qui me vois nomade, j’étais servi.
Tous les jours on se lève, on ne sait pas ce que l’on va
rencontrer, où l’on va dormir, c’est toujours différent.
Et en même temps le chemin est bienveillant, les gens que
l’on rencontre, sont toujours intéressants. J’avais l’impression d’être à ma place,
J’ai à la fois beaucoup appris par les différents lieux et énergies et à
la fois passé un très bon moment, très serein.
Si on pouvait vivre tout le temps comme ça, ne pas se faire
de soucis, vivre avec peu de choses : ce que l’on porte.
Profitez de chaque moment, de chaque rencontre et toujours
partir plus loin.
4/ Les Regards du Pilat : Depuis que vous travaillez à votre compte,
votre premier métier est celui de thérapeute-magnétiseur. Comment vous est venue
cette vocation profonde ?
Hervé Jolivet : En 2000 je suis parti vivre dans le Pacifique en
Nouvelle-Calédonie,
J’ai compris qu’il fallait que je change de style de vie, je
me suis alors demandé ce que j’aimais
vraiment, ce que je cherchais dans la vie. Dans mes voyages,
j'essaye toujours de comprendre les différentes croyances et religions.
Je
suis quelqu’un qui prend plaisir à aider aussi, alors j’ai lu des
choses sur la
sophrologie, j’ai bien aimé cette façon d’aller un peu partout autour
du monde
et de créer des soins avec ce qui parait le plus adapté chez nous. Il y
avait un
des créateurs de la sophro qui faisait des formations en sophro analyse
à
Nouméa, le professeur Jean Pierre Hubert.
J’ai commencé une formation avec lui.
Parallèlement, j’avais monté une petite boîte de travaux dans
le bâtiment.
Et un jour, j’ai travaillé chez un maître Reiki qui m’a
demandé, si j’étais d’accord d’échanger des travaux contre une formation en
Reiki et quand j’ai fait cette formation tous les gens m’ont dit c’est étonnant
comme ça passe avec toi et on sent plein de choses ….
C’est comme ça que j’ai commencé ensuite j’ai fait d’autres
formations, essayer de comprendre ce qui se passait.
J’ai passé des annonces comme quoi je faisais des soins
gratuitement (j’ai compris plus tard que malheureusement ce n’était pas
forcément la meilleure chose à faire)
Mais par contre je n’ai jamais pensé que c’était un don ou
que j’étais meilleur que les autres. Je fais ça parce c’est facile pour moi et
que les gens sont contents, et comme j’aime aider les autres tout le monde y
trouve son compte. J’en ai fait de plus en plus et j'ai travaillé beaucoup dans ce
domaine ce qui m’a permis comme n’importe qui dans son métier de
développer mes connaissances.
Je ne fais pas que du soin, mais aussi de la géobiologie et
de la sculpture sur bois.
Bien sûr, pour moi, ces deux activités sont liées aux énergies,
mais le fait d’avoir plusieurs activités m'évite d’être obligé d'entrer
dans une démarche commerciale que je trouve en dehors des soins en énergie.
Comme j’ai plusieurs activités, j’ai toujours un travail dans l’une ou l’autre sans forcer par de la pub à tout va.
5/ Les Regards du Pilat : En pratiquant le magnétisme, l’une de
vos spécifités est d’y inclure un concept alchimique.
Que vient faire cette science mal
connue dans ce genre d’intervention ?
Hervé Jolivet : Oui, c’est une science mal connue ; ma vision des choses dans ce
domaine est
que l’on trouve en alchimie des concepts qui ont été repris
de l’ésotérie et de vieille tradition qui me paraissent intéressants ; une façon
de voir le corps plus grand que ce que l’on peut voir avec les yeux.
On a appelé alchimiste autant les pratiques ésotériques et
magiques que les gens qui fabriquaient les produits d’entretien, ou chimiques, ou
des pratiques qui maintenant seraient de la médecine.
Mais dans certains cas, il y a une approche de ce qu’est le vivant,
très enrichissante.
Je ne suis pas un alchimiste j’ai juste fait des formations
chez des gens qui disaient l’être.
J’ai fait des soins avec leurs techniques, noté ce qui
fonctionnait bien et maintenant je m’en sers si besoin pour la personne.
6/ Les Regards du Pilat : En complément de votre activité
professionnelle,vous pratiquez la sculpture sur bois et nous pourrions évoquer
une sculpture ..symbolique .ce coté artiste de votre personnage est il une
façon de vous ressourcer de réaliser? que représente pour vous le
symbole ?
Hervé Jolivet : La sculpture fait partie intégrante de ma vie et je sculpte
le bois de l’arbre.
Quand j’étais jeune, quand je voyais un arbre coupé, j’avais
l’impression de voir un être mort.
Ce qui m'a donné l’envie de prendre un morceau de cet arbre
et de lui redonner vie.
J’ai vraiment un rapport très particulier avec les arbres et
le bois : je sens vivre sous mes doigts son odeur, son grain, son fil me
connecte directement à l’arbre lui-même.
J’ai commencé à sculpter seul pendant plusieurs années et
voyant que je manquais de technique ; en 2012 je me suis offert une formation de
plusieurs mois de sculpture sur bois à l’Ecole Supérieure d’Ebénisterie
d’Avignon.
La sculpture est vraiment l’art qui me parle.
Je n’ai jamais acheté de télévision de ma vie qui (tais les
visions) mais la sculpture c’est le moyen pour sortir de ce monde de l’image, où
on ne peut pas aller voir derrière ce qui se cache juste une image bien souvent
fausse ou arrangée.
La sculpture, on peut la regarder dans tous les sens sur tous
les plans on peut la voir, la sentir, la toucher.
Le symbole est pour moi comme la géométrie sacrée : la clé et
la façon de faire passer un message qui pourra être vu par tous et compris par
ceux qui ont envie.
Sans compter sur les ondes de formes que l’on fabrique, c’est
ce qui relie au grand tout.
7/ Les Regards du Pilat : En d’apporter des soins aux
personnes par le magnétisme, une troisiéme corde notoire à votre arc, consiste
à soigner l’habitat par la géobiologie.quelles aspirations vous ont poussé à
vous investir dans un domaine qui demande la encore de solides
compétences ?
Hervé Jolivet : J’ai fait une première formation sur la géobiologie en 2007
et une autre pendant un an en 2010, ensuite j’ai travaillé avec différents
géobiologues et étudié les écrits des plus connus dans le domaine, en France.
Quand j’ai commencé c’était surtout pour avoir des
connaissances complémentaires, je suis souvent dans la nature, je sens plein de
choses et voulais savoir ce que je sentais.
Et puis j’ai toujours besoin d’apprendre, c’est tellement
vaste ces domaines qu’il faut toujours apprendre mon conseil : si vous
rencontrez des gens qui vous disent qu’ils savent ou qu’ils ont eu la
révélation : il faut les fuir.
Ce sont des gens que j’ai eu en soins qui m’ont demandé de
regarder leur maison.
Je leur ai dit qu’il y avait d’autres personnes qui
faisaient ça, mais ils voulaient que ce soit moi, alors j’ai commencé à en faire et
essayé d’avoir une méthode pour travailler sur les maisons. La géobiologie est
tellement complexe que j’ai fait comme dans les soins : bien écouté la demande
de la personne et tenté de répondre à sa demande.
Je ne fais pas ça pour me prouver que je sais le faire mais
pour aider les gens qui me le demandent.
Maintenant j’ai développé une méthode efficace que j’essaie de retransmettre à un petit groupe de personnes tous les ans.
8/ Les Regards du Pilat : Outre les soins portés aux lieux
d’habitation ou de travail, on parle aussi de géobiologie sacrée.
Pouvez vous nous en dire plus sur le
sujet ?
Hervé Jolivet : Oui, pour moi la géobiologie sacrée c’est de considérer qu’il
y a quelque chose de bien supérieur à nous (en regardant le comportement de
l’homme ça paraît pas trop dur à imaginer)
Que des liens importants entre des lieux (notre ami commun
Eric Charpentier a écrit de très beaux ouvrages sur le sujet) existent, parfois
marqués par l’homme en conscience ou pas ; là est la question ?
Que des liens existent entre la Terre et d’autres planètes,
d’autres dimensions, d’autres formes de vie peuvent nous entourer.
Ce qui va créer des lieux avec des énergies particulières
que l’on nomme hauts lieux, lieux sacrés…
Mais je pense qu’il faut rester toujours très humble par
rapport à ces lieux.
Que nos ressentis ne sont que nos interprétations et non une
vérité, qu’ils ont une âme et une conscience et que vous pouvez toujours faire
semblant devant le voisin.
Mais, eux voient qui on est vraiment.
On est face à des forces bien supérieures à nous et le
reconnaître c’est les respecter.
9/ Les Regards du Pilat : Le druidisme ne vous lasse pas
indifférent, loin s’en faut. Pour beaucoup, l’image du druide reste celle du
Panoramix dans Astérix. Qu’en est-il en réalité et surtout à notre
époque ?
Hervé Jolivet : Ce que je connais du druidisme me parle ; cette façon de
donner autant d’importance au monde minéral, végétal et animal qu’à
l'humain.
Comprendre que tout est lié et que l’on a besoin de tous ces
mondes pour bien vivre.
On se rend bien compte en ce moment de l’importance de cet
équilibre.
Et bien des gens, se sentent mieux dans un bois que dans une
ville, plus paisibles, mieux oxygènés sans passer devant des panneaux
publicitaires qui veulent nous vendre quantité de choses dont on n'a pas besoin
et qui nous font culpabiliser de ne pas avoir les moyens de se les payer.
On m’appelle souvent le Druide parce que j’ai les cheveux
longs et la barbe blanche, que je suis très souvent dans les bois et que je
connais bien les arbres dans plusieurs de leurs aspects.
Mais je ne suis ni Druide, ni shaman. Je n’ai pas besoin de
titre, ni de diplôme.
En fait dans les textes ou les traditions, l’on ne sait pas
grand-chose du druidisme juste, on en parle un peu chez les Grecs et les
Romains il y a 2000 ans et dans quelques textes antérieurs ensuite il y a plein
de théories sur la transmission de leur savoir.
Maintenant, il y a des mouvements de néo-druidisme depuis le
18 ème siècle mais pour moi c’est un mélange de traditions plus récentes.
Mon approche est d’aller dans la nature, d’observer comment
les plantes poussent, comment les animaux se comportent, ressentir ce qui se passe autour de soi, les
variations qu’il y a selon les sols, les plantes, quelle est leur langage,
comment essayer de rentrer en contact avec ce tout et le faire simplement sans
chercher à en tirer quelque chose.
J’aime essayer de comprendre les runes et Oghams aussi et de m’en servir au mieux.
10/ Les Regards du Pilat : On a la nette impression que vous
êtes en perpétuelle recherche de la reconnexion à la nature. A ce propos, vous
proposez des sorties «nature» callées sur les 8 moments
« clé » de l’année dans la tradition celte, que viennent y trouver vos
participants et qui sont ces participants ?
Hervé Jolivet : Oui pour moi c’est de la nature, dont nous venons tous.
Essayer de la comprendre c’est essayer de se comprendre.
Les cycles que l’on retrouve dans une année sont en lien
avec notre état émotionnel, au long de l’année et sûrement en lien avec les
cycles de la vie.
Mieux comprendre c’est mieux accepter cette roue qui tourne.
Cela va faire 13 ans maintenant (chiffre important dans la
tradition celtique) que je propose des sorties de reconnexion à la nature
pendant les 8 moments de la traditions celtique.
Chacun de ces moments a un rapport flagrant avec la nature
et mouvement solaire.
Je pense que les participants viennent y trouver un bain de
nature.
J’essaie de trouver des lieux avec une énergie correspondante
au moment de l’année.
On fait du développement de ressenti avec les plantes, les
arbres, les minéraux dans un bon esprit sans chercher à se comparer, j’explique
ce qui se passe en énergie à ce moment de l’année comment les plantes le ressentent
et l’expriment comment les femmes les hommes le ressentent, on fait quelques
exercices, un petit rituel de saison.
Je pense que les gens viennent y trouver un moment où on les
aide à mieux voir la nature.
Beaucoup des participants aux sorties sont devenus des amis
presque une famille pour certains et ils viennent dès qui peuvent pour marquer ces
cycles de passages.
11/ Les Regards du Pilat : Dans le large panel de sorties que
vous proposez, l’une d’entre elles, mène aux roches de Marlin dans le Pilat.
Sur quoi insistez-vous dans ce site mégalithique
majeur du Pilat et, est-ce que les travaux d’Eric Charpentier peuvent
vous aider ?
Hervé Jolivet : Le Pilat est vraiment très riche en sites ayant toutes sortes
d’énergies particulières.
Et, parmi ces lieux, les roches de Marlin est l'un des plus
emblématiques.
En plus, de la force du site pour ma part, je trouve qu’elle
est habitée par une force qui a un caractère très puissant et j’avouey être venu à
plusieurs reprise avant d’être accepté. C’est un des endroits qui me fait
vraiment croire que les lieux ont une âme et selon comment on se présente on
ne sera pas reçu pareil.
Pour moi, ce lieu a servi à des initiations de changement de vie, de passage d’un état à
un autre (mais personne n’a la vérité dans ce domaine, ce n’est que mon
interprétation.)
Bien sûr les écrits et même la rencontre avec Eric Charpentier
que je considère comme un ami est incontournable dans les connaissances sur le
Pilat.
12/ Les Regards du Pilat : Enfin, pour conclure cet entretien la
dernière question nous conduit au Puy en Velay.
Vous effectuez là-bas une sorte de
sortie annuelle traditionnelle. Que représente pour vous le Puy en Velay ?
Hervé Jolivet : Quelle superbe ville ! C’est une de mes villes préférées.
Quand je suis partie à Compostelle c’était la première fois
que je rentrais vraiment dans la ville c’était un choc.
J’aime la taille de cette ville et toutes les traces
ésotériques, alchimiques, historiques, énergétiques, légendes et traditions….
Quand j’ai vu ça j’ai cherché si quelqu’un pouvait me guider
dans cette ville mais je n’ai pas trouvé.
Alors quand je suis revenu, j’ai décidé de l’étudier,
j’avoue avoir eu beaucoup de chance de rencontrer des gens sur place qui
avaient commencé plusieurs recherches que j’ai complétées par une approche
énergétique.
Maintenant, je fais une sortie par an où je mélange une
visite ésotérique de la ville et une progression énergétique. Cette sortie a
toujours beaucoup de succès et les gens repartent ravis, il y en a même qui
sont venus plusieurs fois.
C’est comme un mini pèlerinage que je fais tous les ans.
Les prochaines dates des sorties : le 4 février sortie
reconnexion à la nature
le 19 mars, reconnexion à la nature
le 16 avril, reconnexion à la nature
le 18 juin, reconnexion à la
nature
Je propose aussi des stages sur la Géométrie Sacrée, Le
magnétisme, et une formation sur la géobiologie au mois de juillet.
Mais je n’ai pas encore fixé les dates pour 2023.
Toutes les infos son sur mon site : www.visionsdorigine.fr