MARS
2022
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ENTRETIEN-INTERVIEW
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VERONIQUE
GIOUVE ET LIONEL BLAIN
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Véronique Giouve et Lionel Blain forment un couple qui
nourrit de nombreuses aspirations communes. A la fois différents
et très
complémentaires, ils s’investissent au service de l’humain et de
son bien-être.
Ils vivent en un lieu calme et silencieux du Pélussinois,
là où ils accueillent
des personnes soucieuses de mieux se connaître et se comprendre.
Très proches
de la Nature, à tout point de vue, ils enseignent leur
expérience à tous ceux
qui souhaitent aller de l’avant, se guérir ou se soigner des
méfaits du monde
moderne et de ses diverses pollutions. Chaleureux, ouverts, partageurs
et
créatifs, c’est un plaisir que de les écouter s’expliquer
sur les différents
travaux qu’ils exercent : ateliers, stages,
ou encore harmonisations. Nous vous
proposons avec cet entretien-interview de mieux les connaître au
travers d’un
véritable retour aux sources. |
1/
Les Regards du Pilat : Bonjour
Véronique et Lionel. Votre Association se nomme « Les
Arbres Sœurs ».
Pouvez-vous nous expliquer l’origine de ce joli nom ?
Véronique
et Lionel : C’est la rencontre
de deux personnes, nous-mêmes, Véronique et Lionel. C’est
l’union de deux âmes
sœurs, celle du masculin et du féminin. Le nom nous est apparu
comme évident
lors d’une discussion passionnée dans un train à propos
des arbres ;
arbres auxquels nous sommes liés.
Logo de l'Association
2/
Les Regards du Pilat : Quels sont vos
domaines d’action et d’intervention au sein même de cette
Association ?
Véronique
et Lionel : L’humain est au centre de
nos préoccupations. Nous cherchons à retrouver la
perception originelle des
gens. Nous nous efforçons de partager, de faire partager. Le but
principal est
d’apporter de l’harmonie dans la vie des personnes qui viennent
à nous, en les
reconnectant à la Nature, à leur propre nature.
Concrètement, nous proposons
des méditations, des sorties en Nature en conscience, des stages
de découverte
des énergies subtiles et de la radiesthésie, ainsi que
des harmonisations des
lieux. Nous avons la chance d’évoluer dans ce beau massif du
Pilat qui nous
offre de hauts lieux énergétiques avec ses arbres, ses
rochers et tout son
peuple invisible.
3/
Les Regards du Pilat : Il est aussi question
de « l’écoute des Arbres ». On se retrouve
alors en présence
d’énergies, de ressentis personnels. Expliquez-nous de quoi
il est
exactement question ?
Véronique
et Lionel : Nous proposons une écoute
des arbres par plusieurs approches :
-
Visuelle
-
Sensitive
en montrant comment ressentir l’énergie des arbres.
-
Musicale
à l’aide d’un appareil qui transforme les signaux
électriques générés par l’arbre et son
« système nerveux » en
mélodie.
Nous
sommes complémentaires. Véronique est plus
tournée vers le créatif et l’artistique et Lionel de par
sa formation
d’ingénieur est plus scientifique et cartésien dans ses
approches. Lorsque nous
prenons en charge un groupe, Lionel a plus tendance à prendre en
charge ce même
groupe et Véronique à se focaliser individuellement sur
d’éventuels blocages.
Création réalisée sous
l'impulsion de Véronique
4/
Les Regards du Pilat : Vous pratiquez
régulièrement la Radiesthésie. Doit-on parler,
d’un don ou d’un acquis ?
Le cas échéant est-ce donné à tout le monde
de pouvoir acquérir des compétences
en ce domaine ?
Véronique
et Lionel : Nous considérons que
c’est un acquis, même si certaines personnes peuvent avoir des
prédispositions,
comme dans toute compétence.
Oui,
et c’est l’objet du stage
« radiesthésies » que nous proposons
où toute personne découvre
qu’elle peut pratiquer. Pratiquer la radiesthésie
nécessite d’être bien ancré
et aligné avec soi-même et l’Univers, et en ce sens on
peut considérer que
c’est un outil de développement personnel.
5/
Les Regards du Pilat : Ce même exercice de
la Radiesthésie vous amène aussi à travailler sur
plan, à distance des secteurs
ainsi étudiés. Peut-on parler d’une science alors exacte
et vos résultats
sont-ils aussi fiables qu’un visu sur le terrain ?
Véronique
et Lionel : La radiesthésie n’est pas
une science, ou du moins pas reconnue comme telle. Il est clair que
nous ne
savons pas l’expliquer. Par contre, les mesures et la détection
sont
reproductibles.
Toute
représentation d’une personne ou d’un
objet comporte les mêmes caractéristiques que l’original.
A partir de là, il
n’y a plus de distance et les études à distance sont tout
à fait fiables. Nous
pratiquons souvent ainsi pour harmoniser des maisons.
Lionel
assis dans le siège de Pierre Juton sur la commune de Roisey
6/
Les Regards du Pilat : En pratique vous
retrouvez des réseaux telluriques, d’eau ou encore
qualifiés de sacrés. Comment
expliquez-vous qu’il ne soit pas rare que d’un radiesthésiste
à un autre les
résultats obtenus soient différents ?
Véronique
et Lionel : Cela peut arriver mais
normalement et globalement on doit trouver la même chose. Il est
au préalable
très important de se mettre d’accord sur la définition
que l’on accorde à tel
ou tel terme. On a tous des prédispositions nuancées et
des ressentis plus
forts pour telle ou telle perception ; un réseau
sacré, un courant
tellurique, une cheminée cosmo tellurique …
Actuellement,
j’interviens (Lionel) fréquemment
dans le cadre de l’association « Des pierres et des
Hommes » avec un
autre géobiologue et l’expérience montre que chacun
confirme toujours ce que
l’autre a détecté. Au départ, nous nous sommes mis
d’accord sur la terminologie
que nous employons.
7/
Les Regards du Pilat : Dans le bois de La
Valette, sur la commune de Pélussin, il existe au moins deux
sites
mégalithiques reconnus. Avec l’expérience, avez-vous une
idée assez précise de
ce à quoi ils étaient voués ?
Véronique
et Lionel : La grande question !
La difficulté avec ces lieux qui ont été mis en
place au néolithique, ou
peut-être bien avant, est qu’ils n’intéressent peu les
archéologues car ils
n’ont laissé que de rares traces.
Nous
venons d’intégrer l’association « des pierres et des
Hommes » dont le
but est de recenser tous ces lieux, et notamment les tumulus afin de
convaincre
la DRAC d’effectuer des fouilles.
Pour
les pierres à bassin et cupules, on peut
penser à des pierres de soins plutôt qu’à des
pierres à sacrifices. Ce qui est
certain, d’un point de vue géobiologique, est que toutes ces
singularités sont
positionnées sur des points hautement vibratoires.
Personnellement
(Véronique), sur le site de La
Valette, le plus grand, j’ai un ressenti très fort. Je rejoins
l’idée de
pierres travaillées et jadis utilisées pour le soin,
peut-être pour
l’accouchement. Les réseaux retrouvés sont centrés
au millimètre sur les
bassins et les cupules. Ces rochers sont comme quadrillés ;
il y a une
intention certaine.
Lionel devant
un bassin du site mégalithique de La Valette 2
8/
Les Regards du Pilat : En restant à La
Valette, mais plutôt en époque médiévale, on
peut toujours observer de nos
jours une espèce de tunnel en remarquable état de
conservation. Les avis
divergent sur sa raison d’être primitive. Quelle est votre
opinion
personnelle ?
Véronique
et Lionel : Nous n’avons pas une
véritable opinion personnelle. On entend les diverses
hypothèses en circulation
sans les rejeter. L’entrée ou la sortie bouchée,
l’amassement de ce volume
d’environ 60 mètres cubes de pierres et la réalisation
titanesque par elle-même
posent de vraies questions mais nous n’avons pas d’avis tranché.
Vue Générale sur le
site "médiéval" de La Valette, fief de Véronique
et Lionel
9/
Les Regards du Pilat : En revenant à vos
violons d’Ingres premiers, on ressent clairement que pour vous le Bio
sous
toutes ses formes demeure important. Pouvez-vous nous confirmer cette
impression et selon vous Le Bio est-il d’avenir ?
Véronique
et Lionel : Le Bio est lui aussi un retour
aux sources en quelque sorte. Nous y accordons une attention
particulière en
essayant de consommer ces produits préservés. Oui, dans
la mesure du possible
nous faisons attention mais ce n’est pas non plus une obsession. D’une
certaine
manière le Bio rejoint la spiritualité de par le fait
d’être en harmonie avec
ce qui nous entoure et en premier lieu la nature.
10/
Les Regards du Pilat : Les soins du corps
et du cœur, les énergies, le Bio, le travail sur soi ;
peut-on parler de
ce qui se rapprocherait d’une authentique médecine alors
parallèle à celle en
vigueur ?
Véronique
et Lionel : Nous préférons parler de
médecine complémentaire à la médecine
traditionnelle. Parallèle voudrait dire
qu’elles ne se rencontrent jamais, et on peut rêver qu’un jour,
la médecine
traditionnelle fera appel aux thérapies complémentaires
si nécessaire, la
rencontre de la chimie et de l’alchimie prendra alors tout son sens.
Maintenant
peut-on parler d’une authentique
médecine concernant nos différents travaux ? Si oui,
alors c’est la
médecine de tous les jours, prendre soin de soi de la
première à la dernière
heure de la journée. On doit, à notre avis, parler de
soins.
Les
Regards du Pilat : Véronique et Lionel,
nous vous remercions pour l’ensemble de vos réponses et nous
laissons ici à
disposition de nos internautes vos coordonnées et votre
programme de
manifestations à venir.