L'ÉNIGME DE TRÈVES



« Le Souterrain : "ON VA" le retrouver »



Cap sur la Technologie

A Trèves et aussi « ailleurs », il faut s’engager dans cette direction ...









<Retour au Sommaire du Site>


     On parlait déjà du surprenant souterrain de Trèves dans des écrits publics, dès 1849, puisque l’abbé de ce village, le bon Père Chavannes, en place depuis 1831, le mentionna une première fois, au travers de textes qu’il remit sur demande et qui furent publiés dans la remarquable France par Cantons de Théodore Ogier. Ce Dossier « On va le retrouver », se veut en détachement des autres, du sujet de base, puisqu’il n’est pas question de traiter l’énigme à proprement parler. Au moins depuis la Révolution, peut-être bien des siècles encore avant, eh bien, il reste probant que personne ne se soit jamais rendu à l’intérieur de cette mystérieuse galerie. Pour ceux d’entre vous qui nous suivent régulièrement, vous savez de quoi il est question ici, en termes de contexte, de fond et de forme, j’allais écrire même de détails. Pour les autres, je vous conseille peut-être alors, de faire d’abord ou aussi, un petit tour en rubrique <Archives, Trèves et son Enigme>, de prendre en cette occasion, tranquillement connaissance d’informations, de données plus ou moins incontournables, au travers de plusieurs anciens Dossiers, comme ceux consacrés au Fronton et du dernier, celui d’Octobre 2007, une mise à jour des investigations, freinée pour des raisons plurielles...



     Aujourd’hui, notre époque moderne, avec ses progrès technologiques notoires, aurait paraît-il compétence, si on se fie à des "on-dits" tenaces, ou des publicités alléchantes et persistantes, grâce à des outils ou du matériel déclaré hyper-performant, à ne pas moins que retrouver réellement et même assez facilement, des cavités ou des souterrains ? Il y a là un évident paradoxe à mes yeux. Oui, pourquoi cette prometteuse « facilité » ne reste -t-elle pas plus souvent utilisée ? Les énigmes "souterraines" n'intéressent-elles que trop peu tout un chacun ? Pourquoi, ne pas venir à bout de tant de recherches passionnantes et insolubles ? Est-ce le seul coût financier élevé qui freine l’aboutissement à tellement de problématiques aussi captivantes les unes que les autres ? Pour nous qui menons une enquête engagée, patiente et résolue, afin de bien décortiquer nos difficultés et en fouillant de plus, depuis longtemps tous azimuts, nous ne pouvons pas faire délibérément et toujours, la sourde oreille, à ces affirmations enjôleuses, mais finalement pourquoi pas concluantes ? A l’Automne 2004, lorsque j’ai sorti mon ouvrage le Vieux Secret, je lançai déjà un premier appel public dans celui-ci, pour envisager, sans doute trop modestement et faut-il croire lucidement, plutôt fébrilement, entrer en contact avec un propriétaire de ce type de moyen futuriste. J’écrivais exactement « On nous suggère tout de même avec insistance une piste qui paraît à première vue pertinente, l’utilisation d’un magnétomètre. Cet appareil est un instrument de mesure qui sert à comparer l’intensité des champs et des moments magnétiques. Il permet de détecter des cavités en profondeur, donc en théorie de suivre le tracé d’un souterrain ! ». Cet appel est resté vain, malgré divers échanges, variés, souvent chaleureux, mais infructueux pour ce besoin précis.


<Retour au Sommaire du Site>








      En Septembre/Octobre 2002, lorsque j’ai pris la décison d’écrire ce livre et avec un grand enthousiasme, j’ai vu également dans cette initiative spontanée, un éventuel moyen potentiel pour trouver des solutions efficaces, multiplier des contacts, à tous les points de vue. On avait besoin d'aide, partiellement indéterminée certes, mais oui, ce bouquin s’avère avoir été implicitement un outil de communication et aujourd’hui je peux l’affirmer avec joie, ceci demeure une réussite : l’arbre nous a ouvert le chemin de la forêt. Cette dernière s'avère dense, complexe,mais magnifique, puisque chaque année nous sommes amenés à y faire des découvertes intéressantes. Vous qui nous suivez au travers des Regards du Pilat, à disposition du public depuis Novembre 2003, vous pourrez observer, déjà au moyen de nos rubriques Archives, que c’est bien une équipe, régulièrement élargie, qui s’est, sans jamais rien formaliser, concrètement organisée. Beaucoup de tiers nous ont rejoints, en apportant expérience, compétences où seulement de l'essentielle bonne humeur. Auparavant, avant d’écrire ce livre, qui retrace un vécu autant qu’une belle aventure, d’y lancer à l’intérieur cet appel « technologique » auprès du grand public, nous avions longuement, voire lourdement insisté sur le terrain au moyen d'une autre solution, celle que j’ai symboliquement et respectueusement intitulée dans ce même ouvrage, et dans un chapitre exclusif « Une Magie trop Capricieuse ». Il était question de la Radiesthésie, j'écrirai, sous « toutes » ces formes, ceci au vu des nombreuses personnes rencontrées, avec des spécificités et des spécialistes multiples, sincères, mais trop confiants. Les échecs furent au rendez-vous, avec pourtant des vérifications scrupuleuses. Notre déception amena une conclusion de sagesse visant à ne plus retenir cette solution comme réaliste pour un jour, découvrir ce que nous recherchons.



     Le pendule, les baguettes dites de sourcier, et aussi d’autres « instruments », parfois uniques et encore des plus "surprenants", avaient déjà été envisagés et testés sur le terrain, là-bas à Trèves, en des points donnés, et ce bien avant que je m’implique dans cette énigme personnellement. On a effectivement contribué, par la force des choses, à accélérer ces expériences auprès de praticiens très différents. Si on tire un rapide bilan, j’entends par là très global, sur cette "science", ici beaucoup trop aléatoire avec les souterrains, ils existent bien et il faut le signaler avec fermeté, des personnes qui trouvent vraiment de l’eau et d’autre à l'opposé, qui font creuser pour rien ceux à qui elles indiquent des informations assez affirmatives, résultant de leurs approches ! On peut nuancer en ajoutant, qu’il peut y avoir interchangeabilité de ces protagonistes concrets ou alors plutôt virtuels, à savoir qu’ils peuvent parfaitement se retrouver alternativement en position d’échec ou de réussite. S’il en est qui n’aboutissent vraiment jamais, je pense qu’il faut au plus vite qu’ils en tirent des conclusions simples. A l’opposé ceux qui « gagnent » à tous les coups, je n’ai pas la chance d'en connaître, et ils doivent être très, très rares ? Maintenant, peut-on sincèrement retrouver un souterrain ou une cavité par ce moyen-là ? Il en est parmi eux, un pourcentage marquant qui répond facilement "oui", à cette dernière question, mais pourtant dans les cas de figures que nous avons-nous-mêmes pratiqués, aucun ne proposa jamais le même résultat ! Les territoires étudiés ne peuvent pas être des gruyères, non, vous ne le croyez pas ? Je ne vais pas refaire ici le chapitre concerné de mon livre, ou ajouter des développements tirés d'une liste qui s'est depuis allongée sous l'impulsion de tiers qui voulaient prendre part à ces recherches, au moyen de leurs méthodes respectives, voire de leur métier, des nouveaux sourciers entrés en contacts avec nous et souvent suite à ma publication. Beaucoup ont proposé, aucun n’a trouvé ! Oui, aujourd’hui on a abandonné cette solution, non sans avoir été au bout de certaines de leurs logiques, "la pelle et la pioche à la main", si vous acceptez cette image qui ne reste qu'une image. Maintenant, nous lorgnons, interrogatifs, dans une autre direction : la Technologie.


<Retour au Sommaire du Site>









     Les souterrains en France, comme sans doute en beaucoup d’autres territoires extérieurs, appartiennent en premier lieu au légendaire, précisément aux légendes largement enjolivées au fil des siècles par la mémoire collective. Trier le vrai du faux relève de l'approximation, d'une fiabilité régulièrement fort incertaine. Leurs existences sont beaucoup plus souvent présumées, supposées, que prouvées ou vérifiées. Pourquoi ? Oui, pourquoi ? Parce que de manière « naturelle », c’est presqu’impossible de les retrouver, lorsqu’ils ont été voici parfois des siècles, refermés, plus ou moins volontairement, par des éboulements. C’est un vaste et grand débat, que je commence à un peu mieux connaître depuis toutes ces années passés à nous creuser .... les méninges, bien sûr. Ce sont des Châteaux médiévaux et dans une moindre mesure, aussi des édifices religieux, qui ont favorisé le développement de ce magique sujet dans des discussions, auprès des masses populaires émerveillées. On voyait régulièrement une galerie dérobée et plutôt longue, ou très longue, associée à telle ou telle construction, plus ou moins fortifiée. Les raisons, la source de ces exagérations, voire de ces dérives sont plurielles. On retiendra, le ressenti des personnes qui ont transmis oralement de générations en générations les dires de leurs ancestres et aussi de malicieuses déviations de regards qui se faisaient trop précis. Bref, que doit t’on retenir de ces explications, qui ne sont que de rapides résumés, mais une synthèse murie quand même, avec réflexion et surtout un vécu, le notre, enrichi de situations diverses et répétées, et ce, depuis plus de 7 ans ? Je le confirme, une nouvelle fois, contrairement à certaines apparences qui inciteraient à douter, ou d'autres visant à démentir fermement, pour des raisons variées, parfois sectaires, motivées ou dérisoires, ces existences, les souterrains creuser dans la masse rocheuse, appartiennent à une réalité vérifiée en des circonstances multiples. Mais voilà, on se retrouve toujours et encore, en de trop nombreuses autres situations, dans le domaine de l’arbitraire, de la supposition, de la rumeur, car tant que l’on ne les confond pas, il manque, il reste à y ajouter une preuve indiscutable. Supposer c’est bien, prouver c'est nécessaire !



     "On" connaît des souterrains, au sens de pouvoir accéder à certains en 2008. Celui de Trèves échappe toujours résolument à notre connaissance, au fait de l’avoir confondu, retrouvé, pouvoir y entrer à l’intérieur et alors certainement, mieux comprendre cette clef, pas forcément indispensable, mais au moins complémentaire, pour se diriger à du plus essentiel. Lorsque ce sera le cas, si telle en est j’espère dans le futur cette réalité, alors ce jour-là, un pas significatif sera franchit dans nos recherches triviennes initiales. En se tournant à présent, prudemment, vers la Technologie, il est immédiatement perçu une notion à première vue dissuasive,celle du coût financier qui va à priori de pair. Parlons maintenant de magnétomètres ou de radars de sol, entre autres, et associons-y une efficacité, une lisibilité nécessaire. Oui, tout de suite il devient question de finances et dans le même temps de compétences capables de retranscrire ou de faire parler correctement les résultats obtenus sur le terrain. Le budget demeure à prendre scrupuleusement en compte, mais en plus il faut que l'utilisateur de l'un de ces "outils", reconnus "théoriquement" performants, puissent interpréter, gérer les données transmises par les appareils, en temps réels et en situations actives de recherches. Ces indices ou indications sont une base indicative, trop approximative s'il y a une mauvaise lecture, et à partir du moment où les données sont surmontées, donc traduites dans de bonnes conditions, il devient légitime, permis et concret de retrouver des galeries oubliées, disparues, voire inconnues. Un rêve ? Une plaisanterie ? Un délire ? Non, si on se fie seulement aux écrits de nos jours en circulation, ceux en premier lieu des vendeurs de ces matériels. Non, d’autant plus que nous avons en réserve des cas d’école et vérifiables immédiatement, à savoir que sans lien avec Trèves, un arbre curieux, précieux, dans cette forêt magnifique, nous connaissons des "lieux" où on peut dans de bonnes conditions "s’étalonner", là où des galeries prennent formes...


Retour au Sommaire du Site>









     Bien sûr, ce Dossier que vous êtes en train de lire, a vocation de véhiculer l’information et pourquoi pas amener ou contribuer à cheminer vers LA solution, la bonne, tant recherchée, dans cette problématique technique. On ne sait jamais, si une personne ou une équipe pouvait par ce biais-là entrer en relation avec nous, certains de nos amis "qualifiés ou désignés",  qu'ils aient volonté, motivation, enthousiasme ou détermination à aboutir. Il faut cumuler des moyens et des compétences ; des finances et savoir faire parler les résultats ! Eh oui, vous l’avez bien lu également, avant de se rendre sur un terrain ancestral, chargé 5 siècles durant d'une présence cartusienne, le versant Nord de Trèves, pour travaux « scientifiques » ciblés, il sera question de visiter auparavant d’autres lieux afin de valider à la fois un système, des compétences, en un mot, que s’installe une confiance dans ce type de matériel qui permet de « voir dans la terre sans creuser ! ». J’ajoute, non sans gourmandise, que nous connaissons des secteurs parfaitement délimités, même si certains assez larges, où transitent d’autres souterrains et ils en est parmi eux qui ouvriraient des portes assez "extraordinaires". En tous cas, pour certaines d’entre elles, et là je reprendrai la bonne vieille expression de Patrick Berlier, il sera alors venu le moment de vous caler confortablement dans votre meilleur fauteuil, puis de lire, d’étudier et de comprendre que nos recherches ont atteint des degrés des plus intéressants. Les Regards du Pilat regroupent des équipes, qui ont pour point commun de cultiver la confiance, l’échange et l’entraide. De ces regards conviviaux là, on a perduré en ce qui concerne l’esprit recherché, mais il nous manque indubitablement le moyen matériel ici pour aboutir. Nous n'avons aucun budget, que cela soit clair. On maitrise néanmoins certaines données indispensables et c'est donc une base essentielle.



      « Le Vieux Secret » dépasse Trèves de manière certaine, cependant, Chavannes nous a généreusement laissé un signe fort, répété et cette pièce trivienne de ce sacré puzzle, possède à n’en point douter, un intérêt marqué. Oui, on peut affirmer avoir réussi à réunir des éléments déterminants, mais ce souterrain demeure pertinent à retrouver pour un éclairage plus complet, plus concret de ce pan d'investigations aujourd'hui regardé à la loupe et aussi en l'isolant du reste. La galerie est probablement décisive en ce qui concerne Trèves en tant que territoire, la pièce maîtresse de l'hermétisme global sur cette commune et en réalité sur ce versant. « Le Vieux Secret » apparaît de plus en plus clairement dans notre ligne de mire, même s'il reste du chemin et de nombreuses pièces manquantes : nous le reconstituerons de A jusqu’à Z, à hauteur de nos moyens. Mon ouvrage qui traite du sujet de manière contemporaine, en ayant ressorti de l’oubli volontairement une énigme qui dépasse l’entendement, avec des détails précis, se complète de tous les Dossiers que vous pouvez retrouver sur ce même site. Maintenant, intégrez également à votre tour, la nouvelle notion que nous avons apposée en Octobre 2007 dans le dernier Dossier « Trèves et son énigme », à savoir que nous remettons maintenant en cause la longueur de la mystérieuse galerie de Trèves, qu'avait annoncée avec insistance par trois fois l'abbé Chavannes dans des écrits, en 1849, 1862 et 1871. Le Dossier de Juin 2008 sera consacré justement à ce point qui nuance encore davantage des « orientations », si je puis toujours me permettre, ces sympathiques jeux de mots et de pleines circonstances. Sommes-nous les seuls au monde à rechercher des souterrains ? Bien sûr cette question s’avère presqu’une plaisanterie, tellement il est supposé de galeries dérobées disparues, rien que sur le seul territoire national. S’il était facile de les retrouver, si elles existaient déjà toutes, pourquoi avoir au bout du compte si peu, pour ne pas dire aucun résultat là où ils seraient des plus attendus ou souhaités ? Ces méthodes, ces moyens technologiques sont-ils fiables au point « de revenir » au Moyen-Âge, ou encore bien avant, en retrouvant les galeries creusés par des hommes investis, mais d’autres temps, celui d’époques où les, où la sécurité avait, que ce soit pour les personnes ou pour les biens, d’autres sens, d’autres buts, d’autres significations. Que dire lorsqu’il s’agissait d’abriter durablement du beaucoup plus exceptionnel ou carrément de l’extraordinaire ? On prenait des mesures adaptées, les plus efficaces possibles pour le regard de l'époque et conçues évidemment alors pour durer… Des coffres-forts conçus pour traverser les siècles...









<Retour au Sommaire du Site>


     Le magnétomètre mesure l’animation d’un champ magnétique ou encore des moments magnétiques. Il a une efficacité souterraine et paradoxalement également astronomique en faisant connaître, voire corriger la position d’un satellite par rapport à la Terre. Les radars de sols ou encore les géoradars, ont aussi vocation à la détection et ils sont déclarés retrouver les souterrains, comme les anciennes mines oubliées et ensevelies. Alors, il est maintenant lancé ce nouvel appel, qui consiste, dans la mesure de moyens et de motivations cumulées, à nous porter aides, décisives (?), grâce à l’un ces appareils, d'une efficacité technologique respective reconnue, comme évoqué dans ce Dossier. Nous ne sommes pas des spécialistes de ces technologies, aussi, nous sommes à l’écoute, demandeurs, preneurs et même "spectateurs impliqués", le cas échéant, auprès je l’espère de futurs acteurs qui se feront connaître "avec précisions sérieuses" et qui seront entraînés dans notre sillon, notre roux sillon, il va sans dire pour nos amis internautes qui ont saisi la portée de ces travaux assez rares...

Thierry Rollat




La Petite et Non la Grande

 
Thierry Rollat


Un Vrai Lieu de Pénitence


En JUIN 2008, avec Michel BARBOT, on vous présentera le sujet :

"... Le Souterrain de Trèves ..... Reflet du Méridien Zéro ..."

Une Réflexion nouvelle, pointue, patiente, avec pour intimité la longueur du souterrain,

retenue aujourd'hui et comme nous vous l'avons mentionné dès le 1er octobre dernier,
"bien plus courte"
que celle affirmée trois fois dans des livres par le Père Chavannes ...




Le Château Neuf


Un Témoin


Raymond n'est pas très loin. Merci







A la sortie de ce Livre nous étions en Septembre 2004





 

















LE VIEUX SECRET

   Les prémices de l'énigme de Trèves ont plus de 170 ans, en tant que réalité contemporaine perceptible pour des tiers. J'entends ici, lorsque des bribes furent sorties de l'oubli, puis portées sur la place publique, ensuite publiées avec cette présence du mystérieux souterrain du Versant Nord, mise en avant par l'abbé Chavannes dans trois livres au 19ème siècle.

     Depuis déjà maintenant plus de 25 ans, mon ami Lionel Chevallier s'est particulièrement interrogé, impliqué activement. Il m'a aussi initié progressivement à l'intrigue, à ses très nombreux questionnements ; il y a à présent 7 ans. En fin d'année 2004, j'ai sorti l'ouvrage ci-dessus (épuisé), et dans lequel je me suis efforcé de procéder à une synthèse des recherches alors significatives.

    Sans Lionel, qui nous a apporté le fruit de tant de labeurs et dans un second temps, d'autres amis spontanément venus à nos côtés (Patrice Mounier, Michel Lhortolat, Jean-Claude Ducouder...), je n'aurais jamais eu matière à envisager cette publication, pour laquelle j'ai même proposé au président de la future dynamique "Mémoire Trivienne"d'y être associé, en gage de reconnaissance (à Lionel donc).

   Au final un "outil de travail" ce livre, nous permettant d'aller beaucoup, beaucoup plus loin, grâce aux innombrables contacts ainsi multipliés. La communication, dès 2002 est devenue la base d'une approche efficace, qui a consolidé une équipe, faisant naître malgré nous, sans que l'on s'en aperçoive, les Regards du Pilat en tant que groupe de chercheurs associés et vous le savez bien, dans une convivialité qu'il convient de souligner.

    C'est moi, qui ai recoupé la piste qui mène à Guillaume de Roussillon. Je le mentionne là, au sens de l'assumer. Elle qui confond Le Vieux Secret, à un degré qu'il reste encore à mesurer "au micron près". Dans mon livre, en connaissance de cause, j'ai décidé de mettre l'accent dès cette publication en 2004, sur la mission impérieuse qui lui fut d'abord confiée en coulisse, puis néanmoins "officiellement" en Mai 1274 lors du concile de Lyon.

    Le Versant Nord fut la propriété des moines chartreux depuis le jour où ils s'installèrent dans leur humble monastère, "fraîchement aménagé" à 15 kilomètres d'ici à Sainte-Croix-en-Jarez et ceci au début des années 1280, préalablement grâce au songe fantastique et très intéressant de Béatrix de la Tour du Pin. La cible restait invisible, mais elle était trop grande pour être manquée ; l'intérêt marqué résidant alors "à localiser l'impact".

    Sur ce site nous proposons trois fois par an, grâce à notre équipe, quelques unes de nos investigations, nouvelles, souvent complémentaires, certaines de nos progressions. Le débat est source de richesses. C'est une notion importante, si ce n'est LA plus importante, celle qui permet de conserver une bonne trajectoire. L'échange nous a permis de fédérer un solide noyau, au-delà de ce que nous pouvions supposer d'ailleurs.

   Il est une donnée, une sorte de règle d'or, qui consiste à assimiler que la recherche n'est au bout du compte, la propriété de personne. Une certaine "déontologie" implique d'être respectueux devant les travaux d'autrui et cela commence où se résume à du bon sens. Personne ne détient toute la vérité, mais gratuitement et en toute conscience, on ne se laisse pas aller à des inventions, des interventions imaginaires et forcément préjudiciables.

   Nos travaux, régulièrement collectifs, représentent, et notamment sur ce sujet, au travers d'une somme globale, des milliers d'heures d'implication. Nous nous employons à faire toute la lumière, demain avec encore plus de détermination. "La Recherche, c'est Rechercher", aurait pu dire Monsieur De La Palisse. Je partage aussi la philosophie de <Jean-Claude Ducouder>, qui condamne le principe, imagé, de faire avec 4 livres un 5ème ouvrage.

   Nous sommes dans "Un Épisode Clef" de la Grande Affaire. Nous avons bien avancé. Nous procéderons à des mises à jour, rendues nécessaires et il sera temps de dénoncer, de corriger et de condamner des fantaisies ... 

Thiery Rollat

                          

Le Joyeux Trio du Vieux Secret depuis 2002

<<<<
Guillaume de Roussillon          Béatrix de la Tour du Pin >>>>>>
                  "symboliquement évidemment"           "Statue ici déclarée représenter son vrai visage"  





















De nos tous premiers soutiens. Maintenant de grands amis. Merci.








<Retour au Sommaire du Site>


En OCTOBRE 2008, on vous présentera Le Second Dossier :

"Guillaume de Roussillon et sa destinée"
"... Erreurs, Pseudos Données Historiques et Faits Indiscutables ..."



Voici un avant goût, déjà un contexte authentique :

    "Roger de Saint-Sévérin, partit avec six galères et quelques navires, amenant à peine une suite de douze chevaliers.

     Il ne voulait rien obtenir par la violence, et, dès son débarquement à Saint-Jean d'Âcre, il alla paisiblement demeurer avec ses commensaux dans la maison des Templiers. Son arrivée jeta néanmoins les chevaliers du pays, revenus la plupart de Tyr, dans un extrême embarras.

   Le sire d'Arsur, Balian d'Ibelin, baile de Jérusalem, au nom du roi de Chypre, établi, en cette qualité, dans le château de Saint-Jean d'Âcre, qu'avait autrefois occupé saint Louis, ne savait quelle conduite tenir. Il appela auprès de lui quelques hommes prudents : Balian Antiaume, d'une influente famille bourgeoise; le comte Jacques Vidal : Jean de Fleury, maréchal de Tibériade ; Jean de Troyes.

    Il (Balian d'Ibelin) s'adressa au patriarche ; il demanda conseil à Guillaume de Roussillon,
Capitaine des Français, et au grand maître de l'Hôpital. Il était prêt, si on promettait de le seconder, à garnir le château de troupes et à refuser l'entrée aux Napolitains ;  mais il ne dissimula pas que la résistance paraissait bien difficile, car on savait que les Templiers *** et les Vénitiens étaient décidés à faire prévaloir, même par les armes, le parti du roi de Sicile. Nul n'osa émettre un avis."

Archibald Cary Coolidge


      
      *** C'est là un But Officiel et déjà préalablement déclaré fermement par l'Ordre du Temple.

     Soutenir une Autorité jugée de meilleures circonstances pour le devenir obscurci de la chrétienté en Terre Sainte.

     Des Templiers remontés contre Hugues de Lusignan, son départ discutable et surtout le désintérêt de ce Roi de Chypre pour SA couronne de Jérusalem, après s'être retiré, ayant abandonné Saint-Jean d'Âcre depuis déjà Octobre 1276.

      Nous sommes ici très loin "d'un coup d'état", qui plus est, touchant la personne physique de Guillaume de Roussillon...

    Les Templiers sont ralliés à Charles d'Anjou, l'oncle de Philippe III le Hardi le Roi de France et dont Guillaume de Roussillon est officiellement son représentant, de plus cousin de Guillaume de Beaujeu le Grand Maître des Templiers.

       Guillaume de Roussillon, n'est absolument pas LE responsable en titre de Saint-Jean d'Âcre, pas plus que le représentant du Roi de Chypre à Âcre. Il n'est pas non plus celui chargé d'accueillir le représentant de Charles d'Anjou.

  Nous sommes, entre Mai et Juin 1277, Guillaume de Roussillon est en pleine forme ;
Non, pas mort en 1276 et vous ne le retrouverez "jamais" recevant ici un coup d'épée.

Thierry Rollat



En Octobre 2008 vous découvrirez la suite très attendue de :
















A très bientôt dans L'ÉNIGME et tout un contexte