Nous apprenons que les civilisations naissent, croissent et meurent comme les organismes vivants. Ce qu’il en reste ne sont plus que des restes. Traces de poteries ou d’art rupestre, sculptures ou monuments en ruine, pierres dressées, seules ou rassemblées en alignement, ces vestiges semblent surtout nous avoir laissé en héritage plus de questions que de réponses.

Qu’a été STONEHENGE ou BABYLONE ? Qu’est- ce que GOBEKLI TEPE ? Pourquoi les pyramides de GIZEH, de TEOTIHUACAN ou d’ailleurs ? Quand ? Comment ont-elles été construites exactement ?

Face à ces extraordinaires assemblages de pierres, face à ce gigantisme, sommes-nous en train de contempler seulement de simples tombeaux ? Quels lourds secrets se cachent à l’ombre des MOAïS ? Quelles manies avaient ces hommes du Néolithique Occidental ou de l’île de Pâques à remuer, dresser de telles masses ? Quels forces ou dieux les poussaient à les déplacer sur des kilomètres ?... des centaines de kilomètres ?

Ce passé qu’était-il donc ? Quels savoirs, quelles connaissances possédaient ces hommes ? Pour commencer ayons l’humilité de constater que bien des choses nous échappent de ces civilisations disparues. Ensuite, observons cette constante : plus on remonte le temps des civilisations et de leurs constructions architecturales, plus on remarque que ces dernières sont massives et savamment élaborées … et plus le mystère donc semble s’épaissir. De NAZCA à CHICHEN ITSA, des civilisations de l’INDUS à celles de HUANG HE (Chine), ou encore de la Mésopotamie à l’Egypte pharaonique, partout le même constat.

L’histoire des Hommes  commence-t-elle avec son écriture à SUMER comme on nous l’apprend ? Plus près de chez nous, à propos d’écriture, le site de GLOZEL (Allier) et ses mystérieux signes, ne sont-ils qu’une supercherie ou une incroyable découverte ?

En définitive, que savons-nous avec certitude de l’histoire de l’humanité ?

Pour ma part je n’ai, vous l’aurez compris, que des questionnements.